lundi 6 février 2012

Van Cleef & Arpels: Souvenir des années 1950


Une grande maison de Joaillerie, ce sont aussi des histoires d'hommes et de femmes, ce sont ces  femmes et ces hommes aussi qui font l histoire de la maison, ils participent à la création d'une histoire partagée et la perpétuent. 

Après la guerre, il n'y avait plus de Van Cleef, mais il y avait encore chez Van Cleef des gens d'avant...de pendant..la guerre, puis une nouvelle génération arriva et dans les années 1950!!!!.

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La vie chez VCA c'est aussi la fête, les fêtes comme la Sainte Catherine, ce jour là on fêtait Mademoiselle Branca , elle est entourée par les filles de Pierre Arpels,  dont Caroline Arpels



C'était un bon vendeur ce Monsieur Georges Lecaut à coté de Melle Branca


Un modèle des années 50


Pierre Arpels  devant une vitrine installée pour une exposition à l'unesco (excusez le cliché réparé au mieux)



Modèle des années 50


L'Unesco


La plus symphatique des photos!, à gauche Amélia Roblet qui était vendeuse, au centre, ces superbes moustaches sont à  Gérard Azoulay, vendeur et directeur général, à droite Hélène Stévenin secrétaire et responsable de la caisse. 
Ces gens là, comme toutes les autres personnes ayant travaillé chez Van Cleef & Arpels  sont une partie de la maison, mais les parties assemblées sont la Maison

Ce qui choque l'historien amateur que je suis c'est ce genre de publicité spoliante ci-dessous:
Connaissance des arts 1992

  
Comment peut on mettre Jules et Salomon2 avant Alfred ?
Sans Alfred, il n'y eut rien, regardons la situation en  1939:



La mort de Renée Rachel Puissant/Van Cleef a changé la donne, cela valait la peine de se pencher  sur l histoire de ces Van Cleef partis  de Cleves en Allemagne aux environs de l an 1700 , mais ce sera peut -être l objet du prochain chapitre.

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